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Les questions à se poser |
La prévention pour lutter contre le stress
Plusieurs préventions sont présentes dans nos vies quotidiennes, tel que le sport, qui est un des meilleurs anti-stress, qui physiologiquement va brûler nos toxines et évacuer nos émotions. Le rire est également un des meilleurs anti-stress qui stimule les hormones du plaisir et du bien-être. Mais on ne peut pas rire sur commande, donc se forcer à sourire fonctionne aussi, pour cela mettre un stylo dans la bouche aide beaucoup (voir lien ci-contre : http://programmes.france2.fr/comment-ca-va-bien/?page=article&id_article=8830 ). Lorsqu'on fait travailler les muscles du visage, les zygomatiques, cela stimule la production des hormones salvatrices qui permettent de lutter contre le stress.
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Photo réalisé nous-mêmes |
De même, pour éviter le stress, il suffit parfois de nous poser les bonnes questions : quelle est la cause de mon stress ? en suis-je responsable ? quelles solutions ? par quels moyens ?... etc
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Se questionner |
Il est également important de bien respirer. Il existe par exemple la respiration ventrale, à effectuer quand nous stressons qui nous aide à nous détendre. Il faut être couché ou être debout pour les faire (bien droit), et il suffit de respirer lentement avec le ventre sans bouger le thorax. Pour les gens qui stressent beaucoup et mêmes les autres, il faudrait en faire tous les soirs dans notre lit avant de dormir. Parfois, il est important de tout arrêter, poser tout ce qu'on a, et faire des respirations ventrales, et se poser les bonnes questions afin de nous détendre. Par exemple, pendant un examen, il faut parfois prendre son temps, poser son stylo, prendre du recul afin de se détendre en faisant des respirations même si cela nous fait perdre du temps. Il vaut mieux ne pas finir et faire bien que se dépêcher et bâcler le travail.
Une autre méthode, issue du "coaching", consiste à tenter de "raisonner" son cerveau, ses angoisses : analyser la situation stressante telle qu'on la ressent en opposition à ce qu'elle représente vraiment dans la réalité. Par exemple, le stress provoqué par l'anxiété d'un évènement à venir est irrationnel dans la mesure où cet évènement ne s'est pas encore produit : il s'agit là de raisonner son cerveau en se rendant compte par auto-suggestion que cette peur n'existe que dans la tête à ce moment là, contrairement à l'événement concerné qui, lui, a toutes les chances de bien pourvoir se dérouler... Bref, se cantonner au REEL en tentant de se sortir de l'irréel d'une situation inventée par anticipation.
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